L’huile de palme, consommée par 3 milliards de personnes, est critiquée pour son impact environnemental, notamment la déforestation, les émissions de particules fines et la menace sur la biodiversité, incluant les orangs-outans. Pourtant, ses alternatives pourraient être pires : son rendement est bien supérieur à celui du soja ou du colza. Utilisée majoritairement dans l’agroalimentaire (80%), elle représente 32% de la demande mondiale d’huiles végétales. Sa durabilité est remise en question, notamment concernant les labels créés par des industriels. En Europe, jusqu’à 70% de sa consommation est liée aux biocarburants, alimentant une polémique croissante.
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Source: Le Figaro, www.lefigaro.fr